Cet ouvrage analyse le sexisme bienveillant à l’Université, abordant l’éthique du féminisme face à une asymétrie idéologique et une crise de priorisation des valeurs dans la formation de certaines femmes. Il propose l’hypothèse de la rentabilité sociale de l’éducation des femmes comme pilier de la politique de capacitation pour un développement durable et l’équité entre les genres, projetée pour 2030. L’éthique et la déontologie régulent les rapports sociaux dans une organisation comme l’Université, assurant un climat de travail harmonieux. Leur transgression détériore le climat professionnel et précarise psychologiquement les travailleurs, surtout les femmes opposées aux hommes sexistes bienveillants ou subissant leurs affres. Ces sexistes considèrent les femmes comme des « tomates » à « manger », et menacent de leur attribuer une sous-moyenne ou de les combattre farouchement.